Le coach mobilise toutes les ressources de son client, c’est-à-dire ses aptitudes, ses expériences, sa motivation, ses désirs et ses connaissances. Il identifie aussi les freins et clarifie les projets. Personnellement j’utilise ma connaissance de la psychologie des comportements, de la personnalité, et de la gestion des émotions pour aider au mieux mes clients à atteindre leurs objectifs.
- les efforts de compréhension linguistique et culturelle,
- les relations socio-professionnelles à construire,
- un sentiment de perte des repères et de confusion,
- un sentiment d’abandon et de séparation vis-à-vis des proches,
- la perte d’une certaine maîtrise de sa vie,
- un sentiment de vulnérabilité teinté d’agacement et de frustration avec la peur de faire des maladresses,
- une inquiétude pour les enfants,
- une peur pour la sécurité et la santé dans certains pays, etc.
L’un des problèmes de l’expatriation est aussi le mal du pays qui peut ronger l’individu, en proie à une forte nostalgie, des pensées obsédantes et idéalisées sur son pays d’origine, associé à un manque d’intérêt ou même un rejet pour le pays d’accueil. L’intégration et l’adaptation peuvent alors être freinées, ralenties, ou même rendues impossibles, ce qui provoquera un échec de l’expérience de l’expatriation.